• Femina / Février 2017

    Forme: apprenez à bien marcher Mal au genou, à la hanche… et si votre démarche expliquait vos douleurs ? Voici toutes les bonnes raisons de s’en préoccuper et d’apprendre à marcher autrement !  Et si le problème, c’était votre démarche ? Chacun de nous peut reconnaître quelqu’un à sa démarche. La façon dont nous nous déplaçons dans l’espace est aussi personnelle qu’une « signature » explique Jacques-Alain Lachant, responsable de la consultation de la marche à la clinique Mont-Louis. Cela fait une vingtaine d’années que, pour soigner la motricité de ses patients, cet ostéopathe D.O., formé à la kinésithérapie et à l’haptonomie, observe leur démarche. Selon lui, elle est extrêmement révélatrice de l’origine de…

  • ELLE – La marche, mode d’emploi

    Par Soline Delos – Le 10/05/2013 Marcher, c’est bon pour le corps, le moral, et on peut le faire partout et tous les jours. Conseils de l’ostéopathe Jacques-Alain Lachant, auteur de « La Marche qui soigne » (éd. Payot). Quelle posture préconisez-vous pour une « bonne » marche ? Le ventre porté, le regard au loin, la poussée qui vient de l’arrière du pied avec des orteils actifs qui attrapent légèrement le sol au démarrage, les paumes et les poignets très légèrement tournés vers l’extérieur, et les mains non pas ballantes mais présentes. Pour ce faire, on peut juste établir un contact entre l’index, le pouce et le majeur ou fermer très légèrement…

  • Le Parisien – Bien Marcher, ça s’apprend

                          Contrairement aux petits veaux, chatons ou girafons, le petit d’homme est le seul de la création à ne pas galoper dès les premières heures de vie. La motricité de l’enfant se construit lentement, depuis sa vie intra-utérine jusqu’à ce qu’il parvienne à enchaîner au moins sept pas seul, sans soutien. Cela survient en général entre ses 12 et 15 mois. Mais, au fond, personne n’a jamais appris à bien marcher. Pourtant, selon Jacques-Alain Lachant, ostéopathe responsable de la consultation sur la marche à la clinique du Montlouis, à Paris, une grande part de nos douleurs d’adultes, viennent de ce que nous ne savons…